Tu as raison car ton écrit
Reste toujours l’état d’esprit
D’un peuple qui sourit amère,
Qui n’est barbare, qui est berbère!
Même si j’enseigne la géographie
Je sais trop peu sur ce « sourit »
Qui, à travers de toute histoire,
Cherche à garder ses racines noires
Au prix du sang et toute souffrance…
Qui rêve sans cesse la délivrance !
Je te salue, poète berbère,
Qui charme le monde avec tes vers,
Poète amazigh au cœur,
Qui chante la joie et la douleur…
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